Le genocide armenien perpétré par les turques est une page de l’histoire qui ne pourra jamais être effacé des mémoires. Pourquoi ? Parce que le peuple arménien quoi qu’il tente de se relever un tout petit peu de nos jours gardera toujours les séquelles de son histoire. Un génocide qui a endeuillé de nombreuses familles et qui a mis le pays dans une souffrance qui se note tant sur le plan psychologique que sur le plan social. Aussi une autre raison pour laquelle on ne doit jamais oublier les atrocités du passé c’est afin d’éviter que les erreurs du passé se reproduisent. En effet s’il y a eu génocide, c’est parce qu’il y a eu des failles qui certainement ont été notées après le chao. Ayant pris connaissances des erreurs du passé, il va de soi qu’en recherchant des jours meilleurs on ne veuille plus retomber dans les mêmes peines. Ne pas oublier les atrocités de l’histoire est aussi une façon de grandir aussi bien du point de vue individuel que du point de vue collective. Toutefois ne pas oublier les atrocités de l’histoire ne signifie pas qu’il faut rester figé dans ce passé. On dit souvent qu’on pardonne mais qu’on n’oublie pas. Ce cette conscience que doivent avoir chacun des habitants d’Arménie car il est inadmissible qu’un passé qu’on n’a pas souhaité nous tienne prisonniers de nos peurs.
Les séquelles après le chao
Les séquelles, c’est ce qui reste d’une situation qu’on a vécu avec beaucoup de difficultés. Les séquelles d’un génocide peuvent être de plusieurs natures. On notera des séquelles comportementales et des séquelles intellectuelles. Dans le comportement il se peut qu’on entretienne la peur et quand ce n’est pas la peur, c’est la violence qui émanera de nous. Une violence justifiée mais qui devrait quand même être maitrisée afin que les mêmes choses ne se reproduisent pas.
